A tous les licenciés Armorile Karaté,

A l’occasion du Tournoi Qualificatif pour les JO de TOKYO 2020 (le 8, 9 et 10 mai 2020), les 3 clubs se sont réunis dans l’idée d’organiser un déplacement sur 2 jours à l’AccorHotel Arena de Paris. Sept ans après les mondiaux 2012 à Bercy, le meilleur du karaté est de retour sur les tatamis parisiens pour l’ultime rendez-vous qui permettra à 24 compétiteurs des 8 catégories présentes, de décrocher une place pour les JO de Tokyo. Plus que jamais les bleus ont besoin de notre soutien !

Pour que le projet aboutisse nous mettons en ligne un court sondage auquel nous aimerions vivement avoir votre réponse. Elle nous permettra de connaître le nombre d’intéressés ; le but étant de remplir au moins 1 bus (environ 55/60 places). Le déplacement est prévu sur 2jours avec 1 nuit d’hôtel.

Il n’y a pas encore de tarif établi pour le déplacement. Toute l’organisation débutera à l’issue du sondage et dans le cas où nous aurions un minimum de 40/50 intéressés.

Nous comptons sur votre réponse ! Ne ratez pas l’évènement !!!

Sportivement,
Lucas Jordaens.

Liens du sondage : https://app.evalandgo.com/s/?id=JTk3ayU5N2olOTYlQUE=&a=JTk2bSU5NG4lOTclQUI=
Réponse avant le 10 novembre

Une question ? contactez Lucas au 06 51 73 11 18 ou par mail [email protected]
Info sur le TQO : https://www.francekarate2020.fr/fr/tournoi-de-qualification/presentation

Créhen. Le tatami du Karaté-club officiellement inauguré

Mercredi soir, la dernière dalle du tatami de karaté a été symboliquement posée. | OUEST-FRANCE

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Ouest-France
Publié le 11/10/2019
Il est de tradition de poser la première pierre d’un édifice. Le Karaté-club de l’Arguenon, lui, a choisi d’immortaliser la pose de la dernière dalle du tatami de 180 m2 dans la salle d’entraînement. D’un montant de 3 000 €, cet investissement s’est concrétisé à la rentrée.

Devant les élus, les karatékas, Pierre Lecaillier (maire), Laurent Lefrançois (professeur) et Jean-Pierre Martel (président du club) ont ainsi officié, mercredi soir, pour poser cette dernière dalle.
« Depuis quelques années, la Fédération a mis en place une nouvelle réglementation pour l’exécution des katas, cela se fait désormais sur tatami », explique le président. Dès 2011, le club sollicite la communauté de communes en ce sens, « mais nous n’avions pu réunir toute la somme nécessaire. Nous avons donc orienté cette subvention vers un achat de matériel spécifique aux enfants ».
La commune est sollicitée pour cet équipement, permettant d’assurer un enseignement sécurisé aux 70 licenciés actuels. Un investissement qui fait le bonheur des utilisateurs, karatékas comme association de gym ou encore gouren. Et si de nouveaux karatékas souhaitent tester ce tatami, ils sont les bienvenus au club.

Dinard. Zaïna Bekhti décroche sa ceinture noire de karaté

Laurent Lefrançois, professeur de karaté, et Zaïna Bekhti, nouvelle ceinture noire au club. | OUEST-FRANCE
Ouest-France
Publié le 20/06/2019 à 05h51

Zaïna a commencé le karaté à l’âge de 6 ans. Tout en suivant ses études – elle est actuellement en bac professionnel cuisine au lycée hôtelier – la compétitrice a franchi toutes les étapes. Aujourd’hui, âgée de 17 ans, Zaïna vient de décrocher sa ceinture noire (1re dan). « La ceinture noire est un diplôme d’État qui permet d’enseigner, à condition de passer des examens », précise son professeur Laurent Lefrançois, ceinture noire 6e dan.

Pour décrocher sa ceinture, Zaïna est passée devant un jury, dimanche, à Nouvoitou, près de Rennes. Elle a dû satisfaire à des épreuves techniques et disputer un face-à-face. Elle a dû également disputer quatre compétitions durant l’année, dont le championnat de Bretagne qu’elle a remporté.

« Pour la suite, on verra. Je me concentre sur mes études de cuisine, confie la championne qui assiste déjà le professeur dans certains cours. Le karaté m’apporte de la concentration, de la maîtrise, et ça me canalise. » Pour Laurent Lefrançois, « c’est à la ceinture noire que le karaté commence. On maîtrise la technique de base. On commence à l’améliorer à travers la vitesse, la force et le coup d’œil ».
Dinard